Les camions bennes à ordures ménagères vont passer dans des quartiers des communes du Grand Nokoué pour la collecte des déchets solides ménagers. C’est une décision de la Société de Gestion des Déchets et de la Salubrité du Grand Nokoué (SGDS-GN) en partenariat avec les communes et les autorités préfectorales. Par Megan Valère SOSSOU C’est par un communiqué en date du 28 août 2020 que la Société de Gestion des Déchets et de la Salubrité du Grand Nokoué en partenariat avec les communes et les autorités préfectorales à informer les populations de Cotonou et de Sèmè-Kpodji que les camions bennes à ordures ménagers seront dans certains quartiers. Une annonce qui fait suite à la première phase des activités de collecte des déchets ménagers de la Société de gestion des déchets et de la salubrité dans le Grand Nokoué (SGDS-GN) qui a débuté depuis le 1er juillet 2020 et qui se consacre aux villes de Cotonou, Abomey-Calavi, Porto-Novo et Sèmè-kpodji. Responsabilité des citoyens résidants dans
Conscient de ce que les fêtes de fin d’année ne doivent en aucun cas rimer avec la perturbation de la quiétude des populations, les autorités à divers niveau redoublent d’ardeur il y a un an déjà. Mais, le mal persiste. Le procureur de la république près le Tribunal de première instance de Cotonou, Mario Mètonou redouble d’ardeur et met en garde. En période de fin d’année, ils sont nombreux, ces établissements à faire de plus en plus recours au 4e art, la musique, pour des fins publicitaires. La vente promotionnelle, les veillées à n’en point finir des lieux de cultes, les scieries non stop, les bars et restaurants sonores, les entreprises, et particuliers ont généralement tendance à générer plus de bruit que d’ordinaire pendant les fêtes de fin d’année. Le procureur de la république près le Tribunal de première instance de Cotonou, Mario Mètonou a donné des instructions fermes aux forces de l’ordre en vue de mettre fin à la pollution sonore liée à l’ambiance des fêtes de fin d’année.
Bien qu’il soit un atout pour la culture des sols, la saison pluvieuse dans le septentrion béninois telle annoncée ne sera pas sans conséquence sur certaines communes potentiellement agricoles des départements de l’Alibori et de l’ouémé. Par Megan Valère SOSSOU Evolution de la hauteur d’eau au fleuve Niger Dans un communiqué de presse en date du lundi 17 Aout 2020, le ministre de l’intérieur et de la sécurité publique se basant sur les analyses de l’Agence Nationale de la Protection Civile (ANPC) a alerté les populations et les autorités des communes de Malanville, Karimama et Bonou sur un éventuel risque lié à la montée des eaux dans les bassins du fleuve Niger et de l’Ouémé. Selon l’autorité ministérielle, malgré les sensibilisations et les mesures préventive prises par l’Agence Nationale de Protection Civile (ANPC) et les autorités départementales et communales, certains citoyens continuent de faire preuve d’imprudence en adoptant des comportements à risque. Ainsi, pour éviter l’alo
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